Références bibliographiques - Module 1

• DUFFY, M. E. (2000). « There’s no two-way symmetric about it: a postmodern examination of public relations textbooks », Critical Studies in Media Communication,vol. 17, no 3, p. 294 à 315.
• Gryspeerdt, Axel (2004). « Relations publiques et recherche en communication », Revue Hermès, vol. 1, no 38, p. 148 à 154.
• HOLTZHAUSEN, D. R. et R. VOTO (2002). « Resistance from the margins: the postmodern public relations practitioner as organizational activist », Journal of Public Relations Research, vol. 14, no 1, p. 57 à 84.
• IHLEN, Ø. et B. VAN RULER (2007). « How public relations works: theoretical roots and public relations perspectives », Public Relation Review, vol. 33, no 3, p. 243 à 248.
• MOLONEY, K. (2005). « Trust and public relations: center and edge », Public Relations Review, vol. 31, no 4, p. 550 à 555.
• TOTH, E. L. (2002). « Postmodernism for modernist public relations: the cash value and application of critical research in public relations », Public Relations Review, vol. 28, no 3, p. 243 à 251.
• VAN RULER, B. (2005). « Commentary: professionals are from Venus, scholars are from Mars », Public Relations Review, vol. 31, no 2, p. 159 à 173.

Références bibliographiques - Module 2

• BONNAFOUS-BOUCHER, M. et Y. PESQUEUX (2006). Décider avec les parties prenantes : approches d’une nouvelle théorie de la société civile, Paris, La Découverte.
• DUMAS, M. (2010). « Une profession qui a du mal à se définir », dans Les relations publiques, une profession en devenir, Québec, Presses de l’Université du Québec, chap. 3, p. 22 à 20.
• HALL, S. (1994). « Codage/Décodage », Réseaux, no 68, CNET, p. 27 à 39.
• KUGLER, M. (2010). « Le cadre d’analyse : un outil de décryptage », dans Des campagnes de communication réussies : 42 études de cas primés, tome 2, Québec, Presses de l’Université du Québec, chap. 2, p. 10 à 23.
• Libaert, T. (2010). « Une nouvelle vision des relations publiques : “Slow PR” », Magazine de la communication de crise et sensible [En ligne], vol. 18
• Mullenbach-Servayre, A. (2007). « L’apport de la théorie des parties prenantes à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises », Revue des Sciences de Gestion, no 223, p. 109 à 120.
• Rodriguez, S. (2006). « Le modèle diffusionniste versus la réception active : comment s’y retrouver? », section 2.2, chapitre 2, du livre Solidarités renouvelées : faut-il tuer le messager?, Québec, Presses de l’Université du Québec, p. 35 à 43.

Références bibliographiques - Module 3

• Gagné, A.-M. et P. Mongeau (2011). « La relation de confiance en relations publiques : vers un modèle d’adéquation contextuelle optimale » [En ligne], Communiquer, vol. 6
• Willett, G. (1996). « Paradigme, théorie, modèle, schéma : qu’est-ce donc? » Communication & Organisation [En ligne], vol. 10